L’Economie du Sénégal est progressivement devenue la quatrième de l’Afrique de l’Ouest (après le Nigéria, la Côte d’Ivoire et le Ghana) dont les principaux partenaires économiques sont la France, l’Inde et l’Italie. Malgré cela, le pays de la Teranga fait partie des Pays les Moins Avancés (PMA)
A la différence de nombreux pays du continent noir, le Sénégal est très pauvre en ressources naturelles et doit compter sur la pêche et le tourisme pour assurer ses principales recettes. Cependant, sa situation géographique et sa réputation de stabilité politique font du Sénégal un des pays africains les plus industrialisés avec la présence de multinationales majoritairement d’origine française.
Le secteur agricole représente 70 % de la population sénégalaise en activité. Le pourcentage du secteur primaire dans le P.I.B. est en constante décroissance (20%), cela en partie dû à la diminution de la pluviométrie et à la crise du secteur de l’arachide, principale culture de rente du pays.
La pêche demeure un secteur clé de l’économie familiale sénégalaise même si elle subit les conséquences de la sur-pêche industrielle (raréfaction des ressources halieutiques) et de l’augmentation des prix de l’énergie.
L’essentiel de la richesse produite se concentre à Dakar et ses banlieues dans les secteurs des services et de la construction.
Il est également utile de mettre en évidence le flux financier généré par les diasporas sénégalaises en Europe et aux Etats-Unis, qui est au moins égal au volume d’aides de la coopération internationale (37 $ par habitant et par an).
Le Sénégal est membre notamment de la Banque Mondiale, de l’Organisation Mondiale du Commerce et de l’Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine.
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