Affaire Adji Sarr : D’après Les Échos, Ousmane Sonko sera face au Doyen des juges jeudi prochain dans le cadre de l’affaire des accusations de viol et de menaces de mort portées contre lui par la masseuse Adji Sarr. Ce acte du magistrat instructeur devrait clore les auditions au fond du dossier, qui ont vu défiler dans le bureau du juge, notamment, l’accusatrice du leader de Pastef, son ex-patronne, Ndèye Khady Ndiaye, et un de ses amis, Mouhamed Mbaye.
D’après Bés Bi, deux issues se présentent pour Ousmane Sonko. Soit le juge prononce un non-lieu, ce qui provoquera une extinction de l’action en justice, soit il renvoie le mis en cause devant un tribunal. Dans ce dernier cas, relève le journal, le leader de Pastef risque d’être placé sous mandat de dépôt.
«Si le juge d’instruction estime que les faits constituent une infraction qualifiée de crime par la loi, il rend une ordonnance de mise en accusation devant la Cour d’assises. (…) La décision de renvoi devant la Cour d’assises doit être précédée d’une ordonnance de prise de corps contre l’accusé», stipule l’article 175 du Code pénal, repris par Bés Bi.D’après Les Échos, Ousmane Sonko sera face au Doyen des juges jeudi prochain dans le cadre de l’affaire des accusations de viol et de menaces de mort portées contre lui par la masseuse Adji Sarr. Ce acte du magistrat instructeur devrait clore les auditions au fond du dossier, qui ont vu défiler dans le bureau du juge, notamment, l’accusatrice du leader de Pastef, son ex-patronne, Ndèye Khady Ndiaye, et un de ses amis, Mouhamed Mbaye.
D’après Bés Bi, deux issues se présentent pour Ousmane Sonko. Soit le juge prononce un non-lieu, ce qui provoquera une extinction de l’action en justice, soit il renvoie le mis en cause devant un tribunal. Dans ce dernier cas, relève le journal, le leader de Pastef risque d’être placé sous mandat de dépôt.
«Si le juge d’instruction estime que les faits constituent une infraction qualifiée de crime par la loi, il rend une ordonnance de mise en accusation devant la Cour d’assises. (…) La décision de renvoi devant la Cour d’assises doit être précédée d’une ordonnance de prise de corps contre l’accusé», stipule l’article 175 du Code pénal, repris par Bés Bi.